EP. 250 – betty tchomanga, chorégraphe.
histoires décoloniales. Mieux comprendre la grande histoire. faits d’hiver
Crédits Photo : Histoire(s) décoloniales – Portraits croisés – Betty Tchomanga
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« Avec Histoire(s) décoloniale(s), l’idée est de faire entendre des choses que l’on a tendance à passer sous silence. » Betty Tchomanga
Aujourd’hui, je reçois Betty Tchomanga, danseuse et chorégraphe, artiste associée au Théâtre de la Bastille.
Elle est à l’affiche de Faits d’hiver, avec Histoire(s) décoloniale(s) – Portraits croisés au Théâtre de la Bastille.
Cette série dansée de 4 portraits – Emma, Folly, Dalila, et Mulunesh – nous invite à découvrir par le mouvement et par les mots l’histoire coloniale en passant par la France, le Benin, l’Éthiopie et l’Algérie.
Des petites histoires pour mieux comprendre la grande Histoire.
On l’écoute avec joie,
Cet épisode a été réalisé en partenariat avec les équipes du festival Faits d’hiver.
Dans cet épisode,
Betty raconte aimer mêler les arts pour traverser des sujets qui lui sont importants, son travail dans Histoire(s) décoloniales(s), la transmission auprès des plus jeunes, faire entendre des choses que l’on a tendance à passer sous silence, son intérêt pour la manière dont on raconte l’histoire depuis 60 ans, le format de série pour Histoire(s) décoloniales(s)- chaque histoire est un portrait, en France, au Bénin, en Éthiopie, en Algérie, de 1492 à 1849, le royaume de Dahomey, la danse comme un aspect de ces pièces mais aussi le texte qui fait récit, le corps porteur de mémoire, les danses qui étaient presque déjà dans les corps, sa tournée dans les établissements scolaires et les interactions, la force de l’art.
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