EP. 247 – JOSETTE BaÏZ adapte des pièces de chorégraphes de renom avec la jeunesse.
ulysse de Jean-claude gallotTa pour faits d’hiver
Crédits Photo : Léo Ballani – Ulysse de Jean-Claude Gallotta adapté par Josette Baïz avec 17 enfants
« Depuis 2003, on a reçu 45 chorégraphes. On a reçu les plus grands. On vit un rêve » Josette Baïz
Aujourd’hui, je reçois Josette Baïz, danseuse et chorégraphe de la compagnie La Grenade.
Pour Faits d’hiver, Josette adapte Ulysse de Jean-Claude Gallotta avec 17 interprètes âgés d’une dizaine d’années.
Cette nouvelle lecture de la pièce de 1981 permet de redécouvrir la gestuelle inventive et espiègle du chorégraphe.
Josette, qui a fait le choix d’installer sa compagnie dans les quartiers Nord de Marseille, et qui collabore quotidiennement avec des chorégraphes de renom, n’imaginait pas accomplir un tel chemin avec les enfants par la danse.
On l’écoute avec joie,
Ulysse de Jean-Claude Gallotta adapté par Josette Baïz avec les enfants du groupe Grenande, c’est au Carreau du Temple, les 24, 25 et 26 janvier : https://www.faitsdhiver.com/evenement/jean-claude-gallotta-josette-baiz-ulysse/
Cet épisode a été réalisé en partenariat avec les équipes du Festival Faits d’hiver pour la 27e édition, du 20 janvier au 15 février.
Dans cet épisode,
Josette raconte sa formation et son parcours de danseuse interprète, Odile Duboc, Susan Buirge, Andy de Groet, ses 6 ans dans la compagnie de Jean-Claude Gallotta, l’énergie, les accents, le côté nerveux, la façon de bouger de Jean-Claude qui correspond très bien aux enfants, l’âme d’enfant de Gallotta, Ulysse qui reste dans le corps, le temps de préparation des enfants, un rendu qui doit être professionnel, le chemin du mouvement à décoder pour les enfants, les enfants qui sont étonnants, être en symbiose avec les enfants, leur côté jubilatoire – toujours prêts à tout, ils ne jugent pas – ils font, les 45 collaborations avec des chorégraphes de renom depuis 2003 – Ohad Naharin, Crystal Pite, Lucinda Childs, Preljocaj, Mc Gregor, (La)Horde etc. l’ouverture permanente donnée aux enfants – obligés de passer d’un univers à un autre, son impression de servir à quelque chose, la philosophie de Grenade / le message d’espoir dans ce brassage bienveillant de cultures corporelles, vivre un rêve, les salles pleines, la magie que traversent ces enfants, être un peu les seuls à proposer cette manière de faire spectacle.
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