EP. 220 – Mickael lafon, sujet à l’opéra national de paris, et papa.
hors-série être danseur et parent
Crédits Photo : Mickael Lafon
« Avoir des enfants, cela m’a permis d’être plus efficace. Tu t’enlèves des pollutions intellectuelles. » Mickael Lafon
Pour vous, un hors-série de 3 podcasts sur les danseurs devenus parents pour parler sans tabou des peurs, des joies, de maternité, du corps, de vies de danse souvent transformées et parfois réinventées, mais surtout du bonheur d’être danseur et parent.
Avec les voix de Laura Arend, Suzanne Meyer et Mickael Lafon.
Aujourd’hui, je reçois Mickael Lafon, Sujet à l’Opéra national de Paris. Il forme avec la danseuse étoile Myriam Ould Braham un couple de danseurs et ils sont les heureux parents de 2 petits garçons.
On l’écoute avec joie.
Dans cet épisode,
Mickael raconte l’Opéra en Guyane, Myriam Ould Braham, sa femme, danseuse étoile, Dorothée Gilbert, sa mission de partager son parcours pour créer des vocations, ses cours de danse à l’hôtel Molitor, son nouveau grade de Sujet, son besoin d’avoir plusieurs cordes à son arc, son accident de moto en 2010 dans lequel il a failli perdre sa jambe, la nécessité de réapprendre la danse, sa formation de coach, son master en finance & arts, aimer être surchargé, son goût pour la vie, choisir d’être heureux, expérimenter et apprendre, développer une boite à outils pour la vie d’après, son besoin de montrer l’exemple pour ses enfants, adorer être sur scène pour avoir 1000 vies, les rencontres avec les chorégraphes, son rêve d’être danseur à l’Opéra depuis l’Ecole de danse, être un couple de danseurs aujourd’hui parents, la maternité et ce que cela implique pour une femme, comment bien revenir sans brûler les étapes physiques, la protection spécifique du corps d’une danseuse, le désir d’être parent qui est plus fort que tout, la nécessité de prendre son congé parental pour le papa, la naissance, le peau à peau, prendre part à la vie de ses enfants, l’équilibre entre famille et travail, gagner en efficacité en étant parent, s’enlever des pollutions intellectuelles, mais aussi se poser des questions pour être de bons parents. Etre parent, ce n’est pas un frein, ce n’est que du bonheur.
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