EP. 70 JEAN-CLAUDE GALLOTTA
rendre la danse pop
Crédits photo : Joseph Caprio
Selon Jean-Claude Gallotta, la culture n’est pas une friandise. »
Avec Jean-Claude Gallotta, c’est un morceau d’avant-garde de la danse contemporaine que l’on traverse.
Ce chorégraphe veut raconter par le mouvement le monde « mais en légèrement décalé. »
Il pose sur son art un regard singulier avec toujours autant d’appétit pour la création.
Pour lui, la danse est une peinture en relief qu’il met en scène.
Et tant qu’il y aura des corps, du vivant, il y aura de la danse.
Dans cet épisode
Jean-Claude nous parle de son envie d’expression, de la danse comme art total, de son regard d’artiste peintre, de créer des émotions avec des corps, d’être chorégraphe et vite, de ses ballets d’un genre nouveau, d’être un artiste « marginal » et de créer l’avant-garde, des années 80, d’être le chef de file de l’abstraction ludique, du concours de Bagnolet, de Ulysse, de la danse comme réponse sociale, du style Gallotta, de son attachement au répertoire, du chorégraphe auteur, de Mathilde Altaraz, de Claude-Henri Buffard, de donner un côté pop à la danse, de faire danser les villes, que la culture n’est pas une friandise, de son appétit constant pour la création, de sa pièce Le jour se rêve, de West Side Story, de Talking Heads de David Byrne, de tenter des choses, de danser toujours, toujours, toujours, toujours.
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