EP. 249 – christine gérard, figure de la danse contemporaine.
festival faits d’hiver
Crédits Photo : Christine Gérard
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« J’ai travaillé avec Jacqueline Robinson, Susan Buirge. Je suis aussi très influencée par Alwin Nikolais et j’ai fondé ma compagnie avec Alex Witzman-Anaya » Christine Géard
Aujourd’hui, je reçois Christine Gerard, danseuse, chorégraphe, enseignante, figure de la danse contemporaine des années 80.
Pour Faits d’hiver, Automnales, Nu perdu, La Griffe, 3 pièces de Christine Gérard sont recréées grâce à Aurelie Berland et aux interprètes, toutes élèves de Christine.
C’est l’occasion de se replonger dans le répertoire et de comprendre l’héritage de la danse moderne allemande, car Christine Gerard a été élève de Jacqueline Robinson, elle-même élève de Mary Wigman.
Bref, l’ossature de la danse contemporaine est bel et bien une histoire de transmission, d’héritage, et de ce qui reste.
On l’écoute avec joie,
Cet épisode a été réalisé en partenariat avec les équipes du Festival Faits d’hiver.
Dans cet épisode,
Christine raconte être une danseuse contemporaine, le travail d’improvisation, son ancrage avec Jacqueline Robinson, Susan Buirge, Alwin Nicolais, et sa formation sur 4 concepts piliers – l’espace, temps, la forme, le motion – la danse moderne allemande, être enseignante très tôt, le temps nécessaire pour se développer comme artiste, être une danseuse de l’espace, la création comme endroit de liberté, être une danseuse qui invente un geste et qui n’impose pas une lecture, la relation avec les étudiants, sa fascination pour la recherche du mouvement, la danse contemporaine qui a du mal à exister en ce moment, le travail toujours, Aurélie Berland et leur collaboration pour Automnales, l’investissement des danseurs, Anne-Sophie Lancelin, la magie de voir ses pièces recréées pour Faits d’hiver, Mary Wigman, Raphael Cottin et l’Éloge des possibles, danser encore et toujours, Thomas Lebrun, danser pour être en lien. Toujours.
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