EP. 247 – maeva lamoliere, chercheuse et chorégraphe. conférence dansée sur carlotta ikeda, figure du butô

Crédits Photo : Jean-Gros Abadie – Looking for Carlotta de Maëva Lamolière

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« La conférence dansée est un dialogue fictif et fantasmé avec le fantôme de Carlotte Ikeda » Maëva Lamolière

Aujourd’hui, je reçois Maëva Lamolière, chercheuse et chorégraphe.

Pour Faits d’hiver, Maëva présente le 23 janvier Looking for Carlotta une conférence dansée avec Carlotta Ikeda – une figure féminine du Butô – à laquelle elle a consacré 10 ans de recherche.

Dans cet épisode, Maëva raconte le Butô, le parcours de Carlotta entre le Japon et la France, ses apports au champ chorégraphique.

Ce temps fort Carlotta Ikeda s’accompagne également d’une exposition à l’Espace culturel Bertin Poirée, réalisée à partir du Fonds d’archive Carlotta disponible au CnD.

On l’écoute avec joie,

Pour réserver sa place et en savoir plus sur Looking for Carlotta : https://www.faitsdhiver.com/evenement/maeva-lamoliere-looking-for-carlotta/

Voir l’exposition : https://www.faitsdhiver.com/evenement/expo-carlotta-ikeda-du-japon-a-la-france-du-cabaret-au-buto/

Cet épisode a été réalisé en partenariat avec les équipes du Festival Faits d’Hiver pour la 27e édition du 20 janvier au 15 février.

Dans cet épisode,

Maëva raconte sa formation au Trinity Laban à Londres, son doctorat à Paris 8, son DE de danse contemporaine, sa rencontre avec la danse – lieu de décharge émotionnelle et physique, son attrait pour la culture chorégraphique et la découverte d’un monde, le butô – cette danse de l’avant garde japonaise – qui travaille sur l’intensité de l’attention et qui prend racine dans le cabaret, Valérie Pujol, Marie-Gabrielle Rotie, et le réseau de danse butô Londonien, Fukuhara Tetsuro, Carlotta Ikeda et la compagnie Ariadone, une danseuse interprète au départ de danse moderne (Graham), sa rencontre avec Akaji Maro qui va l’inviter à  prendre la tête d’une compagnie de danseuses, sa relation au cabaret, au streeptease, le moment butô de 1978 qui marque le début de l’insertion progressive de Carlotta dans le champ chorégraphique selon Sylviane Pagès, ce que Carlotta permet à l’histoire du butô, sa corporéité vieillissante et étrange, la conférence dansée et son besoin de dialoguer avec le fantôme de Carlotta et de montrer les archives disponibles au CnD, la danse de Carlotta qui trouble sa propre danse, ce besoin urgent de ne pas faire disparaître une figure féminine de la danse et du butô.

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